Progressivement mais sûrement, BioWare continue de dévoiler les détails relatifs à l'un de ses projets les plus ambitieux, Star Wars : The Old Republic. Et cette fois, le studio basé au Canada n'a pas fait les choses à moitié puisque la session de jeu s'est étalée sur près de six heures. L'occasion de découvrir deux nouvelles classes de ce MMORPG tant attendu, le Jedi Consulaire et le Chevalier Jedi mais également d'étrenner nos sabres lasers au cours d'une instance à quatre pour le moins rythmée. Autant le dire tout de suite, on en redemande déjà !
Avant de rentrer dans le vif du sujet, rappelons que l'histoire de Star Wars : The Old Republic prend place plus de 3500 ans avant l'avènement de l'impitoyable Dark Vador, à une période où les tensions entre la République et l'Empire atteignent des sommets. Dans ce contexte pour le moins conflictuel, vous aurez la lourde tâche d'engager votre destin aux côtés de l'un des deux camps. Nul doute alors que le regard d'un certain nombre d'entre vous s'illuminera à l'idée d'incarner un Jedi. Et bien, c'est ce que BioWare nous a permis de faire en nous laissant qui plus est carte blanche quant à l’orientation à donner à notre partie. Globalement, ces quelques heures passées sur le jeu nous ont permis de faire franchir à nos avatars les dix premiers niveaux qui correspondent, grosso modo, à la phase d'apprentissage du Jedi. Et ce, que l'on ait choisi d'incarner un Chevalier Jedi ou un Jedi Consulaire.
Le design des Chevaliers Jedi a été soigné.
L'aventure débute sur la planète sauvage Tython, un lieu hautement symbolique sur lequel le Conseil Jedi a décidé de s'établir pour former une nouvelle génération de combattants. Bien que l'on ne soit au départ qu'un simple apprenti, les différentes tâches à effectuer ne se révèlent jamais pénibles. Toute l'intelligence de BioWare a été de scénariser avec minutie chacune des quêtes, sans jamais que cela ne devienne pompeux. Résultat, le joueur se sent très vite impliqué dans l'histoire et on évite ainsi la monotonie des premières heures de jeu dont souffrent la plupart des MMO. Mieux, le jeu demande rapidement au joueur d'effectuer des choix importants au cours des dialogues. Si ces derniers ne sont pas aussi riches que ceux de Mass Effect, ils reprennent le système de réponses multiples. En fonction des questions posées ou de ce que vous rétorquerez à votre interlocuteur, la suite de l'aventure s'en trouvera changée. On se doute que l'avenir de la galaxie ne dépend pas de chacune de nos interventions mais le déroulement et l'existence de certaines quêtes seront remis en question. A l'instar de toutes les productions BioWare, The Old Republic va même plus loin que cela en vous proposant carrément des choix moraux. Au fur et à mesure des actions et des options prises lors des dialogues, son avatar pourra glisser dangereusement du côté obscur de la force. Car la frontière entre le bien et le mal est fine et le fait d'être un Jedi ne vous garantit pas un destin doré.
Quel bonheur de faire partie de l'élite de la galaxie !
Revenons-en à nos missions. Les deux premières consistaient à aller délivrer de malheureux padawans prisonniers de cages en bois et à jeter un oeil à quelques systèmes holographiques en panne. En chemin, vous croiserez bien évidemment les premiers ennemis. Là aussi, BioWare a fait en sorte de stimuler le joueur dès le départ. Bien que doté d'une force relativement faible, votre avatar aura à affronter des adversaires autrement plus charismatiques que les habituels serpents ou rats croisés dans les MMO. L'occasion de tester les premiers pouvoirs à votre disposition et de sortir votre sabre, pas encore laser mais forgé à l'aide de métaux plus rudimentaires. Après avoir occis quelques méchants et dépouillé leurs cadavres, vous voilà prêt à apprendre de nouvelles techniques. Votre maître de classe est là pour cela. A chaque niveau passé, une nouvelle compétence ou des améliorations relatives à celles que vous possédez déjà, se débloquent. Et c'est en dépensant un peu d'argent que vous pourrez en bénéficier sur le champ de bataille.
Elle sont pas classes, mes lunettes de soleil ?
Pour différencier les deux classes de Jedi, il suffit d'observer leur technique de combat. Les Chevaliers demeurent extrêmement efficaces au corps-à-corps et possèdent une puissance et une résistance adaptée à ces combats rapprochés. Malgré son sabre, le Jedi Consulaire est lui nettement plus vulnérable aux offensives frontales. Il est ainsi doté de compétences pouvant être déclenchées à distance. On pense notamment à la télékinésie qui lui permet de jeter des pierres sur ses ennemis. De quoi les maintenir loin de lui avant d'en finir avec un bon coup de sabre bien placé. Très vite, les combinaisons d'attaques deviennent évidentes. Pour se débarrasser de plusieurs ennemis à la fois, le Jedi Consulaire pouvait par exemple utiliser une sorte d'onde de choc touchant l'ensemble de ses adversaires. Une fois ces derniers à terre, il suffisait alors de lancer des projectiles de loin avant d'achever les plus résistants au corps-à-corps. Tout cela semblait très naturel dès la première heure de jeu. BioWare a en plus choisi de donner immédiatement au joueur des pouvoirs puissants et visuellement gratifiants.
Les combats sont très convaincants.
L'impression de force dégagée par son avatar, c'est d'ailleurs ce qui saute immédiatement au visage. Graphiquement, le jeu s'en sort en effet plutôt bien. Les effets lumineux ainsi que les animations accompagnant les coups des Jedi rendent grâce à leur puissance. Mention spéciale à l'une des attaques du Chevalier qui lui permet d'effectuer un saut de quinze mètres avec pirouette aérienne à la clé afin de planter son sabre dans le corps de son ennemi. Grisant ! Les environnements ont également été soignés et regorgent de petits détails. Quant à la modélisation un peu lisse des personnages, façon cartoon, elle suscitera débat, c'est certain, mais elle demeure toutefois convaincante. En fait, les seuls soucis concernent un framerate un peu instable, quelques bugs de collision et des textures pas toujours très nettes mais rien de très alarmant puisque la version entre nos mains était loin d'être définitive. L'aspect sonore revêt lui aussi une importance cruciale. Les musiques épiques accentuent l'intensité de l'action et soulignent parfaitement le caractère homérique de certaines scènes. Quant aux bruitages, ils rendent encore plus crédible l'univers mis en place par BioWare.
Ces boites de conserves vont vite finir au recyclage.
Si certains en doutaient encore, Star Wars : The Old Republic est une démonstration éclatante du savoir-faire du studio créé en 1995 par Ray Muzyka et Greg Zeschuk. Un simple coup d'oeil à l'interface permet de se rendre compte à quel point BioWare a digéré puis intégré le meilleur de la concurrence en ajoutant sa petite touche personnelle. Si la barre d'action située en bas de l'écran avec expérience, sort à utiliser, jauge de vie et de force pour les pouvoirs, demeure aujourd'hui un grand classique du MMORPG, le fonctionnement de la map est beaucoup plus original. La petite astuce très bien pensée, c'est que si l'on commence à bouger son personnage alors que la carte est ouverte, celle-ci devient transparente. Il est alors possible de se rendre à l'endroit voulu en ayant à la fois un œil sur le plan et sur l'action à proprement parler. Voilà qui facilitera la vie de beaucoup de joueurs amenés à passer de nombreuses heures sur les différentes planètes de la galaxie. Comme dans tous les MMO, vous serez en effet contraint de parcourir des distances gigantesques tout au long de l'aventure. On regrettera d'ailleurs les trop nombreux allers-retours imposés pour aller parler aux PNJ afin de recevoir la récompense de sa quête et de se voir délivrer un nouvel objectif.
Préparez-vous à défendre chèrement votre peau.
Peu de temps avant de clôturer cette longue session de jeu, BioWare nous a également gentiment laissés vadrouiller dans une instance par groupe de quatre joueurs. Car si Star Wars : The Old Republic pourra a priori être parcouru presque entièrement en solitaire, la possibilité d'être accompagné existe aussi, bien évidemment. En quelques clics seulement, nous voilà donc au combat, aux commandes d'un Jedi Consulaire aidé cette fois d'un Chevalier Jedi et d'un Contrebandier. Si l'objectif demeurait simple puisqu'il fallait progresser à l'intérieur d'un énorme vaisseau en éliminant tous les ennemis, ce court moment à plusieurs nous a permis d'en savoir plus sur le fonctionnement des groupes. Lors des phases de dialogue par exemple, chacun des joueurs devra opter pour une réponse et c'est le hasard qui déterminera laquelle d'entre elles sera choisie. De quoi occasionner quelques disputes entre des joueurs qui souhaiteraient donner à la quête une direction différente. Les différents pouvoirs lors des combats semblaient en tout cas bien se compléter. Le Contrebandier, à couvert derrière les éléments du décor alignait au loin les adversaires en compagnie du Jedi Consulaire alors que le Chevalier Jedi se chargeait lui de finir le travail au corps-à-corps. Contrairement à certains concurrents, BioWare a souhaité que les instances ne s'étalent pas trop dans le temps. En une heure et demie, cette première zone spéciale fut donc bouclée, avec à la clé, quelques jolis lots pour équiper son avatar. Et c'est à regret que nous avons dû stopper là, notre session de jeu. Il faudra maintenant patienter encore plusieurs mois avant de découvrir les milliers d'autres secrets dont BioWare demeure un gardien appliqué.
Nos impressions
Après avoir passé plusieurs heures sur le titre de BioWare, force est de constater qu'aucun gros point faible ne se dégage de l'expérience. Le seul petit regret concerne les innombrables trajets afin de parler aux PNJ et la monotonie qui en résulte. Pour le reste, la scénarisation intelligente des quêtes, l'ambiance fantastique qui se dégage de l'épopée, l'impression de puissance des personnages, l'interface judicieusement pensée, l’aspect sonore parfaitement pensé mais surtout la fidélité à l'univers Star Wars, lui-même d'une richesse absolue, risquent de convaincre un nombre conséquent de joueurs. Il restera juste à voir si l’aventure tient la route sur la longueur. Mais quoiqu’il en soit, Star Wars : The Old Republic sera l'un des poids lourds de l'année 2011
Lien complet: http://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00013766-star-wars-the-old-republic-preview.htm
Avant de rentrer dans le vif du sujet, rappelons que l'histoire de Star Wars : The Old Republic prend place plus de 3500 ans avant l'avènement de l'impitoyable Dark Vador, à une période où les tensions entre la République et l'Empire atteignent des sommets. Dans ce contexte pour le moins conflictuel, vous aurez la lourde tâche d'engager votre destin aux côtés de l'un des deux camps. Nul doute alors que le regard d'un certain nombre d'entre vous s'illuminera à l'idée d'incarner un Jedi. Et bien, c'est ce que BioWare nous a permis de faire en nous laissant qui plus est carte blanche quant à l’orientation à donner à notre partie. Globalement, ces quelques heures passées sur le jeu nous ont permis de faire franchir à nos avatars les dix premiers niveaux qui correspondent, grosso modo, à la phase d'apprentissage du Jedi. Et ce, que l'on ait choisi d'incarner un Chevalier Jedi ou un Jedi Consulaire.
Le design des Chevaliers Jedi a été soigné.
L'aventure débute sur la planète sauvage Tython, un lieu hautement symbolique sur lequel le Conseil Jedi a décidé de s'établir pour former une nouvelle génération de combattants. Bien que l'on ne soit au départ qu'un simple apprenti, les différentes tâches à effectuer ne se révèlent jamais pénibles. Toute l'intelligence de BioWare a été de scénariser avec minutie chacune des quêtes, sans jamais que cela ne devienne pompeux. Résultat, le joueur se sent très vite impliqué dans l'histoire et on évite ainsi la monotonie des premières heures de jeu dont souffrent la plupart des MMO. Mieux, le jeu demande rapidement au joueur d'effectuer des choix importants au cours des dialogues. Si ces derniers ne sont pas aussi riches que ceux de Mass Effect, ils reprennent le système de réponses multiples. En fonction des questions posées ou de ce que vous rétorquerez à votre interlocuteur, la suite de l'aventure s'en trouvera changée. On se doute que l'avenir de la galaxie ne dépend pas de chacune de nos interventions mais le déroulement et l'existence de certaines quêtes seront remis en question. A l'instar de toutes les productions BioWare, The Old Republic va même plus loin que cela en vous proposant carrément des choix moraux. Au fur et à mesure des actions et des options prises lors des dialogues, son avatar pourra glisser dangereusement du côté obscur de la force. Car la frontière entre le bien et le mal est fine et le fait d'être un Jedi ne vous garantit pas un destin doré.
Quel bonheur de faire partie de l'élite de la galaxie !
Revenons-en à nos missions. Les deux premières consistaient à aller délivrer de malheureux padawans prisonniers de cages en bois et à jeter un oeil à quelques systèmes holographiques en panne. En chemin, vous croiserez bien évidemment les premiers ennemis. Là aussi, BioWare a fait en sorte de stimuler le joueur dès le départ. Bien que doté d'une force relativement faible, votre avatar aura à affronter des adversaires autrement plus charismatiques que les habituels serpents ou rats croisés dans les MMO. L'occasion de tester les premiers pouvoirs à votre disposition et de sortir votre sabre, pas encore laser mais forgé à l'aide de métaux plus rudimentaires. Après avoir occis quelques méchants et dépouillé leurs cadavres, vous voilà prêt à apprendre de nouvelles techniques. Votre maître de classe est là pour cela. A chaque niveau passé, une nouvelle compétence ou des améliorations relatives à celles que vous possédez déjà, se débloquent. Et c'est en dépensant un peu d'argent que vous pourrez en bénéficier sur le champ de bataille.
Elle sont pas classes, mes lunettes de soleil ?
Pour différencier les deux classes de Jedi, il suffit d'observer leur technique de combat. Les Chevaliers demeurent extrêmement efficaces au corps-à-corps et possèdent une puissance et une résistance adaptée à ces combats rapprochés. Malgré son sabre, le Jedi Consulaire est lui nettement plus vulnérable aux offensives frontales. Il est ainsi doté de compétences pouvant être déclenchées à distance. On pense notamment à la télékinésie qui lui permet de jeter des pierres sur ses ennemis. De quoi les maintenir loin de lui avant d'en finir avec un bon coup de sabre bien placé. Très vite, les combinaisons d'attaques deviennent évidentes. Pour se débarrasser de plusieurs ennemis à la fois, le Jedi Consulaire pouvait par exemple utiliser une sorte d'onde de choc touchant l'ensemble de ses adversaires. Une fois ces derniers à terre, il suffisait alors de lancer des projectiles de loin avant d'achever les plus résistants au corps-à-corps. Tout cela semblait très naturel dès la première heure de jeu. BioWare a en plus choisi de donner immédiatement au joueur des pouvoirs puissants et visuellement gratifiants.
Les combats sont très convaincants.
L'impression de force dégagée par son avatar, c'est d'ailleurs ce qui saute immédiatement au visage. Graphiquement, le jeu s'en sort en effet plutôt bien. Les effets lumineux ainsi que les animations accompagnant les coups des Jedi rendent grâce à leur puissance. Mention spéciale à l'une des attaques du Chevalier qui lui permet d'effectuer un saut de quinze mètres avec pirouette aérienne à la clé afin de planter son sabre dans le corps de son ennemi. Grisant ! Les environnements ont également été soignés et regorgent de petits détails. Quant à la modélisation un peu lisse des personnages, façon cartoon, elle suscitera débat, c'est certain, mais elle demeure toutefois convaincante. En fait, les seuls soucis concernent un framerate un peu instable, quelques bugs de collision et des textures pas toujours très nettes mais rien de très alarmant puisque la version entre nos mains était loin d'être définitive. L'aspect sonore revêt lui aussi une importance cruciale. Les musiques épiques accentuent l'intensité de l'action et soulignent parfaitement le caractère homérique de certaines scènes. Quant aux bruitages, ils rendent encore plus crédible l'univers mis en place par BioWare.
Ces boites de conserves vont vite finir au recyclage.
Si certains en doutaient encore, Star Wars : The Old Republic est une démonstration éclatante du savoir-faire du studio créé en 1995 par Ray Muzyka et Greg Zeschuk. Un simple coup d'oeil à l'interface permet de se rendre compte à quel point BioWare a digéré puis intégré le meilleur de la concurrence en ajoutant sa petite touche personnelle. Si la barre d'action située en bas de l'écran avec expérience, sort à utiliser, jauge de vie et de force pour les pouvoirs, demeure aujourd'hui un grand classique du MMORPG, le fonctionnement de la map est beaucoup plus original. La petite astuce très bien pensée, c'est que si l'on commence à bouger son personnage alors que la carte est ouverte, celle-ci devient transparente. Il est alors possible de se rendre à l'endroit voulu en ayant à la fois un œil sur le plan et sur l'action à proprement parler. Voilà qui facilitera la vie de beaucoup de joueurs amenés à passer de nombreuses heures sur les différentes planètes de la galaxie. Comme dans tous les MMO, vous serez en effet contraint de parcourir des distances gigantesques tout au long de l'aventure. On regrettera d'ailleurs les trop nombreux allers-retours imposés pour aller parler aux PNJ afin de recevoir la récompense de sa quête et de se voir délivrer un nouvel objectif.
Préparez-vous à défendre chèrement votre peau.
Peu de temps avant de clôturer cette longue session de jeu, BioWare nous a également gentiment laissés vadrouiller dans une instance par groupe de quatre joueurs. Car si Star Wars : The Old Republic pourra a priori être parcouru presque entièrement en solitaire, la possibilité d'être accompagné existe aussi, bien évidemment. En quelques clics seulement, nous voilà donc au combat, aux commandes d'un Jedi Consulaire aidé cette fois d'un Chevalier Jedi et d'un Contrebandier. Si l'objectif demeurait simple puisqu'il fallait progresser à l'intérieur d'un énorme vaisseau en éliminant tous les ennemis, ce court moment à plusieurs nous a permis d'en savoir plus sur le fonctionnement des groupes. Lors des phases de dialogue par exemple, chacun des joueurs devra opter pour une réponse et c'est le hasard qui déterminera laquelle d'entre elles sera choisie. De quoi occasionner quelques disputes entre des joueurs qui souhaiteraient donner à la quête une direction différente. Les différents pouvoirs lors des combats semblaient en tout cas bien se compléter. Le Contrebandier, à couvert derrière les éléments du décor alignait au loin les adversaires en compagnie du Jedi Consulaire alors que le Chevalier Jedi se chargeait lui de finir le travail au corps-à-corps. Contrairement à certains concurrents, BioWare a souhaité que les instances ne s'étalent pas trop dans le temps. En une heure et demie, cette première zone spéciale fut donc bouclée, avec à la clé, quelques jolis lots pour équiper son avatar. Et c'est à regret que nous avons dû stopper là, notre session de jeu. Il faudra maintenant patienter encore plusieurs mois avant de découvrir les milliers d'autres secrets dont BioWare demeure un gardien appliqué.
Nos impressions
Après avoir passé plusieurs heures sur le titre de BioWare, force est de constater qu'aucun gros point faible ne se dégage de l'expérience. Le seul petit regret concerne les innombrables trajets afin de parler aux PNJ et la monotonie qui en résulte. Pour le reste, la scénarisation intelligente des quêtes, l'ambiance fantastique qui se dégage de l'épopée, l'impression de puissance des personnages, l'interface judicieusement pensée, l’aspect sonore parfaitement pensé mais surtout la fidélité à l'univers Star Wars, lui-même d'une richesse absolue, risquent de convaincre un nombre conséquent de joueurs. Il restera juste à voir si l’aventure tient la route sur la longueur. Mais quoiqu’il en soit, Star Wars : The Old Republic sera l'un des poids lourds de l'année 2011
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